Découvrez les bonnes raisons de passer aux protège-slips en coton bio

Découvrez les bonnes raisons de passer aux protège-slips en coton bio

juillet 23, 2020 Non Par Benjamin

Les protections hygiéniques classiques sont une grande source de pollution au plastique. Par ailleurs, leur fabrication requiert l’utilisation d’importantes quantités de matières premières et est génératrice de fortes émissions de CO2, un gaz à effet de serre nocif. Pour se faire du bien tout en préservant la planète, découvrez toute la nécessité de miser sur des protège-slips en coton bio.

Des protections de qualité sans plastique et gage de plus de confort

Les protège-slips classiques contiennent des quantités considérables de plastique et mettent environ 500 ans avant d’être totalement dégradés dans la nature. Par contre, opter pour des protections plus responsables permet de s’affranchir de l’utilisation du plastique. Le coton biologique se dégrade au bout de 1 à 5 mois environ, sans avoir le moindre impact sur l’environnement. 

En termes de confort, les protections hygiéniques 100% en coton bio n’ont pas leur égale. Elles sont plus douces, plus agréables au toucher et permettent de profiter d’une formidable sensation de bien-être. Ces protections ne contiennent pas de parfum, par conséquent, elles sont moins susceptibles de provoquer des irritations, des allergies ou encore des démangeaisons.

Moins de produits chimiques et d’émission en CO2, une bouffée d’oxygène pour la planète

La fabrication classique des protections hygiéniques implique de devoir utiliser des produits chimiques. Or, ces derniers sont en grande partie rejetés dans la nature. À terme, des millions de litres de substances nocifs finissent par polluer les nappes phréatiques, les cours d’eau ainsi que les cultures et même les animaux.

Par contre, les protège-slips en coton bio suivent un processus de fabrication plus éthique. Le coton est issu de l’agriculture biologique. Les cultures se font sans engrais de synthèse ni pesticides ou encore OGM. La matière première est ensuite récoltée auprès de producteurs locaux. 

En circuit court, le transport du coton se fait sur de courtes distances, ce qui contribue à la baisse des émissions en CO2. Pour terminer, le coton est transformé le plus naturellement que possible, sans utiliser des produits chimiques qui représentent un danger pour l’environnement et pour la santé humaine.